20100417

Mais, vrai, j'ai trop pleuré. Les Aubes sont navrantes.

Et j'ai déposé sur la nudité pourpre de tes lèvres toute l'impétuosité d'un songe que je gardais en silence dans les froissures de ma robe.
Le vent l'a lestement emporté.

3 commentaires:

C. a dit…

Et je lisais encore ce poème il y a quelques jours et Arthur ne quitte jamais le bord de mon lit pour très longtemps...

Un dessin aux traits graciles pour un endroit toujours aussi doux.

C. a dit…

Encore!

Johnny a dit…

Moi aussi j'aime la nudité.