20100605

It hurts to say, but i want you to stay.

Dialogues fondés sur. Résignations permanentes, théories abstraites, métaphysique du coeur et des baisers volés. Mais un souffle. Au creux de nos cous, léger, suave, incongru. Les méandres de nos lèvres. Biaisées, entre parenthèses, suspendues par l'aube incandescente. Des lettres. Incisives, en prose, immuablement décadentes, brûlées. Des gestes. Probants, impétueux, complaisants. Un jeu. Un tu. Un nous.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Je ne voulais pas te laisser partir, je crois. Parce qu'il était tard et que tes joues étaient mouillées. J'ai voulu te prendre dans mes bras, vraiment. Et t'embrasser. Parce que tes lèvres étaient closes et ton cou dénudé. Je suis tombé amoureux de ta robe. De ton sourire, de tes grains de beauté qui ponctuent ta peau. De tes hanches. Et de tes mots.

Tu as oublié Kundera chez moi. Passe dans la semaine ou. Rien. J'abandonne.

Anonyme a dit…

Tu as raison, il faut que l'on écrive à deux. Pour un texte ni Camusien, ni Rimbaudelairien, mais très Peter Pan, comme nous.

Je t'embrasse,
Adrien.